Hearings on Quebec Bill 52: College of Social Workers & Marriage & Family Therapists

Claude Leblond, Marielle Pauzé

Wednesday 18 September 2013 – Vol. 43 N° 35

Note: The following translation is the product of a first run through “Google translate.”  In most cases it is sufficient to identify statements of interest, but more careful translation is required to properly understand the text.

Original Text

Caution: machine assisted translation

Le Président (M. Bergman) : à l’ordre, s’il vous plaît! Alors, ayant constaté le quorum, je déclare la séance de la Commission de la santé et des services sociaux ouverte. Je demande à toutes les personnes dans la salle de bien vouloir éteindre la sonnerie de leurs téléphones cellulaires.

The Chairman (Mr. Bergman) to order, please! So, having established a quorum, I declare the meeting of the Board of Health and Social Services opened. I ask everyone in the room to please turn off their cell phones ring.
La commission est réunie afin de poursuivre les consultation s particulières et les auditions publiques sur le projet de loi n° 52, Loi concernant les soins de fin de vie. The Committee met to continue consultation and s special public hearings on Bill 52, An Act respecting the end-of-life.
Mme la secrétaire, y a-t-il des remplacements? Madam Secretary, there he has replacements?
La Secrétaire : Non, M. le Président. Secretary: No, Mr. President.
Le Président (M. Bergman) : Merci. Ce matin, nous avons, comme premier invité, l’Ordre des travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux du Québec. Alors, M. Leblond, bienvenue. Vous avez 15 minutes pour faire votre présentation. On vous demande votre nom, votre titre ainsi que celle qui vous accompagne. The Chairman (Mr. Bergman): Thank you. This morning, we, as the first guest, the College of Social Workers and Marriage and Family Therapists of Quebec. So Mr. Leblond, welcome. You have 15 minutes to make your presentation. It asks for your name, title and the accompanying you.
M. Leblond (Claude) : Merci beaucoup, M. le Président. Alors, M. le Président, Mme la ministre, mesdames et messieurs, membres de la Commission de la santé et des services sociaux, il me fait plaisir, au nom de l’Ordre des travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux du Québec qui regroupe près de 12 000 membres, à venir partager avec vous nos commentaires et nos appréciations en lien avec le projet de loi n° 52, Loi concernant les soins de fin de vie. Mr. Leblond (Claude): Thank you, Mr. President. So, Mr. President, Madam Minister, ladies and gentlemen, members of the Board of Health and Social Services, I am pleased, on behalf of the College of Social Workers and Marriage and Family Therapists of Quebec has nearly 12,000 members, to share with you our comments and appreciations related to Bill 52, An Act respecting the end-of-life.
Plusieurs de nos membres interviennent auprès de personnes âgées, d’enfants malades, de personnes aux prises avec des maladies dégénératives. Certains d’entre eux ont développé une expertise particulière au niveau du deuil, des soins palliatifs, de la réadaptation et, plus spécifiquement, sur des questions entourant la mort. Many of our members are involved with elderly, sick children, people with degenerative diseases. Some of them have developed a particular expertise in bereavement, palliative care, rehabilitation, and more specifically on issues surrounding death.
Alors, je vous présente également ma collègue, Mme Marielle Pauzé, travailleuse sociale, directrice des admissions à l’ordre. Mme Pauzé possède une maîtrise en éthique appliquée. Elle complète son doctorat en éthique et le terminera dans les quelques jours à venir et cumule plus de 30 ans de pratique dans le réseau de la santé et des services sociaux et dans la fonction publique. Mme Pauzé a également siégé au sein du groupe de travail conjoint sur l’aide médicale à mourir dirigé par le Collège des médecins et dont vous avez reçu rapport hier, si j’ai bien pris connaissance, là, des travaux de la commission. Then I also introduce my colleague, Ms. Marielle Pauzé, social worker, director of admissions order. Ms. Pauzé holds a Master of Applied Ethics. She completed her doctorate in ethics and end in the next few days and has over 30 years of practice in the health system and social services and the public. Ms. Pauzé also served on the Joint Working Group on Medical dying led by the College of Physicians and you received reports yesterday, as I read, then the work of the committee help.
En 2010, dans le cadre des travaux de la commission spéciale sur la question de mourir dans la dignité, nous recommandions au gouvernement de reconnaître la légitimité de la demande d’aide médicale active pour mourir en contexte de fin de vie et d’inclure cette pratique dans l’offre de soins et de services de fin de vie du système de santé et de services sociaux au Québec. Cette recommandation que nous défendons toujours repose sur certains principes que nous jugeons fondamentaux. Alors, chaque personne a le droit de déterminer ce qui est bon pour elle et de faire ses choix quant à la façon de vivre son processus de fin de vie. L’autodétermination de la personne se vit dans une perspective relationnelle avec la famille, les proches et l’équipe interdisciplinaire de soins et de services et, le troisième, l’état doit s’assurer… doit assurer aux personnes non seulement des conditions d’une vie dans la dignité, mais aussi d’une mort dans la dignité. In 2010, the work of the Special Committee on Dying with dignity, we recommend the government to recognize the legitimacy of the request for active medical help to die in the context of end of life and to include this practice in the provision of care services and end of life of the health system and social services in Quebec. This recommendation we stand still based on certain principles that we consider fundamental. So each person has the right to determine what is good for her and to make choices about how to live the process of dying. The determination of the person lives in a relational perspective with family, relatives and interdisciplinary team care and services, and the third, the state must ensure … must ensure that people not only conditions a life in dignity, but also a dignified death.

Full Translation

Twin protection of conscience bills introduced in Tennessee

Senate Bill 514 and House Bill 1185, identical bills that have been introduced in the Tennessee General Assembly, provide protection for students in post-secondary psychology, social work or counselling programmes who, by reason of religious beliefs, are unable to provide a client with the kind of counselling or therapy being sought.  The bills require objecting students to refer clients to another counsellor.